Cette nuit-là, mon sommeil est très agité. Les pleurs d’Ethan me réveillent et, après lui avoir donné son biberon et changé sa couche, je le prends contre moi et respire son odeur.
— Elle va t’aimer, mon bonhomme. Il ne peut pas en être autrement. Je ne veux pas avoir à choisir entre vous.
Je garde Ethan contre moi pour le reste de la nuit. Avec lui à mes côtés, comme avec Sophie, je dors du sommeil du juste, sans cauchemar.
Le lendemain matin, ma décision est prise. Ce week-end, je parlerai d’Ethan à Sophie.